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27 juillet 2011 3 27 /07 /juillet /2011 21:23
LA GRANDE EPOQUE 

 

 

Les auteurs lors de la présentation de leur ouvrage samedi 16 juillet 2011. (NTD)
Les auteurs lors de la présentation de leur ouvrage samedi 16 juillet 2011. (NTD)
Des défenseurs des droits de l'homme et des intellectuels se sont exprimés contre les tentatives du régime chinois d'éradiquer la culture tibétaine, lors de la présentation de leur livre samedi 16 juillet 2011.

Ce nouvel ouvrage, intitulé Imposer la modernité selon les normes chinoises: le destin de la civilisation tibétaine a été présenté samedi dernier au Centre tibétain pour les droits de l'homme et la démocratie à Dharamsala, une ville au nord de l'Inde et terre d’accueil du Dalai-Lama.

Anant Kumar Asthana, co-auteur, porte-parole et représentant du Réseau légal pour les droits de l'homme, explique le but de cet ouvrage.

Anant Kumar Asthana a déclaré: «Ce livre essaie de passer en revue les accusations de génocide culturel au Tibet portées contre la République populaire de Chine. Ce livre est donc une nouvelle tentative de regarder les derniers faits et d'examiner si ce qui se passe au Tibet équivaut ou pas à un génocide culturel».

Cet ouvrage détaille la politique du régime chinois à l'encontre du Tibet et sa façon d'influencer la langue et les usages tibétains.

Ugyen Tenzin, directeur du Centre tibétain pour les droits de l'homme et la démocratie, a ajouté: «Le génocide culturel en train de se dérouler au Tibet découle de la politique du régime chinois d'élimination systématique de la culture, de l'identité et de la langue tibétaine. Cela est en train de se passer au Tibet. C'est pourquoi nous avons publié ce rapport selon lequel l'identité et la culture tibétaines sont en train d'être effacées au Tibet».

Sur la base d'entretiens avec des Tibétains récemment réfugiés en Inde, les auteurs expliquent la forte opposition exercée par les réfugiés envers la politique du régime chinois et pourquoi ils ne sont pas restés en Chine.

Les autorités chinoises dirigent le Tibet depuis 1950. En 1959, près de 80.000 Tibétains ont cherché refuge en Inde avec le Dalaï-Lama, leur guide spirituel, après l'échec d'une révolte contre le régime communiste chinois.
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21 juillet 2011 4 21 /07 /juillet /2011 13:47
Tibet-info.net

mercredi 20 juillet 2011 par Rédaction

Le pastoralisme décrit la relation interdépendante entre d’une part les éleveurs et leurs troupeaux et d’autre part leur habitat.
Le plateau tibétain situé à environ 4 000 mètres d’altitude est le domaine des Drokpas (ou "Brogpas").
En raison de la rudesse du climat, l’altitude dans de nombreuses régions ne permet pas aux gens de s’installer sur quelques hectares de terres. Emportant avec eux tout ce qu’ils possèdent, ils doivent se déplacer avec leurs troupeaux de moutons, chèvres, yaks sur de larges prairies (steppes) à la recherche de pâturages.

Sur le plateau tibétain, dans le Rupshu [1], le Kham [2] et le Changtang [3], les Drokpas ont l’habitude de s’abriter dans des tentes de poils de yak et de nourrir leurs feux avec les excréments de l’animal, qui leur fournit également la viande, le lait, la laine, et le cuir qui sont a la base de leur subsistance. Leurs longues traversées des steppes sont ponctuées d’arrêts à proximité de marchés où ils vendent leurs surplus pour acheter du riz et autres céréales.

Les nomades élèvent yacks, chèvres et brebis, et migrent dans les vallées durant l’hiver et dans les pâturages de montagne en été. Ils passent généralement les deux tiers de l’année dans les vallées.
Mais le constat est sans appel. Le nomadisme est en déclin.
De plus en plus de familles ont maintenant un camp d’hiver permanent. Au Tibet, le régime chinois négocie des contrats de production avec les éleveurs nomades, en essayant de les intégrer dans l’économie de marché. Le plan consiste également à délocaliser les nomades dans des villages artificiels qui sont construits à la hâte.

JPEG - 95.1 ko
Village de relogement forcé des nomades
© DIIR office – Dharamsala

Pendant des siècles, les nomades tibétains pastoraux et les éleveurs ont réussi à maintenir un mode de vie durable et mobile, se déplaçant vers différents pâturages selon la saison.

"La stratégie de développement de l’Ouest"

Depuis 2000, le gouvernement chinois met en œuvre des politiques de déplacement de population. [4]
Lancée dans les années 90, la politique de déplacement des populations inclut le développement des terres de l’ouest de la Chine, l’envoi de nomades vers des habitats peu familiers et ce, afin de stimuler l’activité économique et le développement dans les régions occidentales, y compris le Tibet.

Selon le rapport de Human Rights Watch (Human Right Watch - report 2007, édité en 2007 : "Le gouvernement chinois a donné plusieurs justifications à son action, mettant en avant son souci de protéger l’environnement, mais en citant aussi les objectifs de « promouvoir le développement » et « civiliser » les zones et les personnes concernées."
Les autorités ont également justifié leurs actions en les présentant "comme une réponse nécessaire aux crises environnementales qui affectent le plateau tibétain".
Depuis 2003, ces politiques se sont surtout radicalisées dans les préfectures de Golok [5] et de Jyekundo [6] dans la province du Qinghai. Mais elles ont également été appliquées dans les provinces de Gansu, du Sichuan, du Yunnan, et la "Région autonome du Tibet" (RAT).
Les populations locales vivant dans ces régions sont généralement contraintes de vendre leurs yaks et sont réinstallées ailleurs.
Selon Freetibet.org " [7], autour de 300 000 familles au Tibet, impliquant 1,43 millions de nomades et des agriculteurs ont été déplacés dans des foyers ou de nouvelles colonies depuis 2006."

"Une relation étroite et positive entre l’écosystème et ses habitants"

Selon un rapport d’experts publié sur le site français Tibet-Info.net, "la Chine a besoin des connaissances acquises par des générations de nomades sur les écosystèmes des prairies. Au cours des millénaires, les nomades ont appris qu’une bonne gestion du plateau tibétain rend la vie humaine possible et écologiquement durable. Les nomades du Tibet sont essentiels dans la santé à long terme des écosystèmes et des ressources en eau".

Selon le rapport "Personne n’a la liberté de refuser" (HRW-2007), l’origine hypothétique du pastoralisme remonte à 4 000 ans (et peut-être jusqu’à 8 000 ans).
Ce mode de vie a montré une relation étroite et positive entre l’écosystème et ses habitants, pour le bien-être des familles et des clans, des communautés et des monastères, et, plus largement, pour le bien commun de la Chine.

La Chine prétend que le Tibet serait dégradé par le sur-pâturage des prairies.
Basé sur cet argument, la Chine concentre une part essentielle de ses mesures d’atténuation du réchauffement climatique sur le déracinement et le transfert forcé des nomades hors de leurs territoires, afin d’empêcher une nouvelle détérioration de l’écosystème du Tibet. En fait, une étude scientifique récente - menée par des scientifiques chinois – déclare que le changement climatique - et non l’utilisation des terres - est responsable de la dégradation de 81% des prairies situées sur le plateau tibétain à proximité de la partie supérieure du Yangtze.
En 2009, un article publié par le Tibet Post a révélé que "le gouvernement chinois avait déplacé - par la force - 50 000 bergers tibétains vers les zones urbaines."
Le gouvernement chinois prétend avoir « relocalisé » près de 50 000 nomades tibétains et leurs troupeaux dans des communautés sédentaires pour protéger l’écologie fragile de la région montagneuse. "Sous la façade de protection de l’environnement, cette loi aura un impact désastreux sur les bergers tibétains et leur capacité à maintenir leur mode de vie traditionnel, et va menacer une forme distinctive de l’identité culturelle tibétaine."
Ceci est très clair. La réinstallation forcée des nomades est toujours en cours au Tibet.

Un problème environnemental et une atteinte aux Droits de l’Homme.

Le rapport de HRW affirme : "Même en supposant que le gouvernement ait eu des raisons valables concernant la défense de l’environnement ou autres pour transférer le peuple tibétain dans certaines circonstances, le voyage [la réinstallation des nomades] s’est presque toujours fait sans transparence, sans consultation préalable et sans compensation financière après le voyage, comme il est requis par la loi chinoise et le droit international."
Les familles nomades, souvent analphabètes et illettrées, reçoivent un contrat de la part du gouvernement chinois. Ce contrat, une fois signé, lie les familles nomades à une vie dans une ville construite à la va-vite, sans leur donner aucune information sur ce qui va se passer par la suite.

Selon le DIIR (Département de l’Information et des Relations Internationales) basé à Dharamsala, la situation est complexe et grave. Non seulement la relation entre les pasteurs nomades et la nature tend à dérégler l’écosystème environnemental au Tibet, mais le transfert des familles nomades vers le béton des villes est la preuve que le mode de vie nomade est en train de disparaître, mais ce n’est pas seulement une question politique. A long terme, cela devient un enjeu environnemental. Les scientifiques du monde entier ont prouvé que l’interdépendance entre le mode de vie nomade et l’environnement était essentielle à la croissance de l’écosystème en Chine.

A l’éducation au problème se joint une grande responsabilité ; c’est à la communauté internationale travaillant sur les problèmes d’environnement de sensibiliser à cette situation critique, car l’injustice envers ce mode de vie et la nature peut encore être arrêtée.

Sources : Migrationinformation.org, Wikipedia.org, HumanRightWatch - rapport2007 -, DIIR office – Dharamsala, Tibet-post.
Dossier écrit en anglais puis traduit par Carole, correspondant à Dharamsala.

NB Les notes de bas de page et les liens, internes ou externes, ont été ajoutés par Tibet-info à des fins d’explication, d’illustration ou de compléments d’information et ne font pas partie du document d’origine.

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[1] Le Rupshu est la région bordant le Ladakh et le Zanskar (Inde du Nord) et le plateau du Changtang (ouest du Tibet), correspondant à la région approximativement au centre de cette carte.

[2] Le Kham est l’une des trois anciennes provinces du Tibet. Voir la carte du Tibet des anciennes provinces.

[3] Le Changtang est le très grand plateau s’étendant sur une grande partie de l’ouest du Tibet. Voir cette carte issue de Commons/Wikipédia.

[4] Voir les articles :
- "La reconstruction obligatoire des maisons au Tibet", du 29/12/2006
- l’article de F. Robin "Sédentarisation et relocalisation expéditives", d’avril 2008.
- "Construction de maisons pour 500 000 bergers tibétains", du 13/10/2008
- "En 2008, la Chine a déplacé 300 000 fermiers et bergers tibétains", du 31/12/2008
- "Halte à la sédentarisation forcée des nomades tibétains !", du 29/11/2009

[5] Golok ou Golog : Guolo Zangzu Zizhizhou, 果洛藏族自治州 en chinois.
Golok et Jyekundo/Yushu (note ci-dessous) peuvent être localisés sur cette carte.

[6] Jyekundo, également écrits Kyigudo, Jyegu ou Kyigu en tibétain, ou Yushu, 结古镇 en chinois

[7] Voir le dossier de FreeTibet.org "Nomadic resettlement".

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19 juillet 2011 2 19 /07 /juillet /2011 11:17


Le 6 Juillet 2011, Dorgay, fils de Penta (le père) et un moine du monastère de Shabten dans Dickyi canton de Nagchu Comté, a été arrêté et emmené par police.In chinoise tôt le matin de ce jour, environ 5 heures Dorgay (22) conduit sa voiture avec des foulards tibétains 1500-2000 blanc (Khatak). Prier pour la longue vie du Dalaï Lama, il a attaché des foulards blancs sur les arbres, les poteaux électriques et partout dans la région de Nagchu comme une célébration du 76e anniversaire de la de Sa Sainteté le Dalaï-lama.  

Peu après son retour à son monastère chinois de police est arrivé au monastère et demanda si c'était lui qui a mis un foulard blanc autour de Nagchu à laquelle il a avoué. Ainsi, il fut arrêté et emmené par la police chinoise. Son lieu de demeure pas connue jusqu'à ce jour. Ses membres de famille et les moines du monastère Shabten essayé de le localiser et de connaître ses conditions, mais sans aucun succès.

Ce jour-là, il était accompagné par un parent, un garçon jeune étudiant qui se trouvait avec lui au monastère à l'époque. Le garçon avait été également arrêté et aucun autre détail ne sont encore connus.

Il semble que l'arrestation et la détention arbitraires continuent de rester dans la pratique de la police chinoise. LeCentre Tibétain pour les Droits de l'Homme dénoncent de tels actes de l'autorité chinoise et leur intolérance envers tout signe de célébration d'anniversaire de Sa Sainteté le Dalaï Lama.

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19 juillet 2011 2 19 /07 /juillet /2011 11:01

Tibet : Lhasa under lockdown / Lhasa sous les verrous
Redazione - Sab, 16/07/2011 - 17:59Tibet


Traduction France Tibet, 17 juillet 2011
La route rituelle de circumambulation autour du Potala utilisée par les Tibétains Bouddhistes pratiquants a été déclarée dépassant les bornes. Selon la même source, les Tibétains vivant en dehors du TAR (Région Autonome du Tibet) sans permis de résidence temporaire ont été ordonné de partir.
Plusieurs Tibétains en exile ont reçu des appels de leur famille au Tibet leur conseillant de ne pas appeler pour les prochains jours, faisant référence un “moment inoportun”. Il s’agit de peurs des autorités devant leur contrôle accru de tous les moyens de communication.

Le 23 Mai à Lhasa, des célébrations se sont tenues pour le 60ème anniversaire de la “Libération Pacifique” du Tibet”, date qui se réfère à la signature par les représentants chinois et tibétains de l’accord en 17 points en 1951. En conséquence de cet accord plus ou moins négocié entre les bouddhistes Tibétains et les communistes Chinois, le statut internationnal du Tibet est passé de nation indépendante à celui de région de la République Populaire de Chine. Mais les autorités chinoises n’ont pas mis en place les promesses d’autonomie stipulées dans cet accord.
Lors des célébrations, alors que Pema Trinley et Gyaltsen Norbu étaient présents (le prémier étant président du TAR et le second ayant été choisi par le CCP comme 11ème Panchen Lama*) personne du gouvernement central n’est connu pour s’y être déplacé.

Le TAR a été fermé au tourisme depuis la fin Juin, pour environ un mois. Selon les agences de voyages, ce serait en raison de l’anniversaire de la « libération pacifique » de Lhasa.
De plus Woeser nous précise que des maisons de villageois longeant les routes publiques aux alentours de la Lhasa ont été détruites. De nouvelles maisons seront contruites début juillet, sur lesquelles le drapeau chinois devra être accroché sur le toit et les murs intérieurs devront supportés les photos des leaders pékinois. Les autorités ont seulement promis une indemnisation partielle pour les nouvelles constructions et un enclos pour le bétail sera interdit, ce qui forcerait les paysans, selon Woeser, à envisager la vente de leurs bêtes. Une éventualité qui baisserait leurs revenus.

Depuis les émeutes qui éclatèrent le 10 mars 2008, le climat de peur à Lhasa s’est intensifié. Dans les semaines qui précédèrent l’anniversaire et l’interdiction d’accès du TAR aux touristes, les autoriotés chinoises ont haussé le niveau d’intimidation et ont adopté une approche dure et systématique pour faire taire les Tibétains et supprimer la contestation. La semaine dernière, le secrétaire du CCP du TAR, Zhang Qingli, a dit ceci à la police : « Nous devons prévenir par prudence et frapper avec sévérité toute activité séparatiste et néfaste de la clique du Dalaï (Lama). »

Le 11 juillet 2011, le Bureau d’Information du Conseil d’Etat de la Chine a publié un nouveau “papier blanc” sur le Tibet (Xinhua, 11 juillet 2011). Détaillant la version officielle quant aux relations de la Chine avec le Tibet, « 60 ans depuis la libération pacifique du Tibet » souligne la « libération pacifique du Tibet » comme une pierre angulaire marquant les débuts du progrès du Tibet d’une société sombre et arriérée vers un futur moderne et lumineux. » Le papier blanc cherche également à institué les Tibétains comme une « ethnie », poursuivant ainsi une tendance à éviter l'utilisation antérieure du terme «nationalité», et donc la reconnaissance des Tibétains tels une entité politique. Il s’agit d’une tentative de présenter les Tibétains comme un groupe ethnique avec sa culture en effaçant leurs intérêts politiques et leurs droits.


The ritual circumambulation route around the Potala used by Tibetan Buddhist devotees has been declared off-limits.According to the same sources, Tibetans from Tibetan areas outside the Tibet Autonomous Region (TAR) without temporary residency permits for the TAR have been ordered removed.Several Tibetans in exile have received phone calls from family in Tibet telling them not to call for several days, citing an “inconvenient time,” due to fears over increased government monitoring of all communications.


Earlier celebrations were held in Lhasa on May 23, the 60th anniversary of the “peaceful liberation” of Tibet, which is based upon the signature by representatives of the Chinese and Tibetan governments on May 23, 1951, of the "17-Point Agreement”. This somewhat negotiated¬ agreement between Buddhist Tibet and Communist China effectively changed Tibet's international legal status from independent nation to a region of the People's Republic of China.Promises of autonomy made in the agreement have not been implemented by the Chinese authorities. While the celebrations were attended by Pema Trinley, Chairman of the TAR government and Gyaltsen Norbu, the young man chosen by the Chinese Communist Party to be the 11th Panchen Lama - no one from the central government was known to be in attendance .

The Tibet Autonomous Region has been closed to tourists since the end of June, for around a month, with travel agency sources citing that it is because of the “peaceful liberation” anniversary celebrations. Additional preparations have included the demolition of villagers’ homes located next to public roads in rural counties surrounding Lhasa, according to Woeser. New homes were to be built by early July, where the Chinese flag must be displayed from the roof and the inside walls adorned with photos of Beijing leaders. Authorities only promised to provide partial funding for the new construction, and the new homes were not permitted to contain a pen for livestock, as many of the original homes maintained on the first floor. This has resulted in forcing farmers to consider selling their livestock, according to Woeser, and dramatically alter their means of living.

There has been a deepening climate of fear in Lhasa since protests broke out on March 10, 2008. In the weeks leading up to this anniversary and the closure of the Tibet Autonomous Region to visitors, the Chinese authorities have stepped up levels of intimidation and adopted a consistently harsh and systematic approach to silencing Tibetans and suppressing dissent. Tibet Autonomous Party Secretary Zhang Qingli was quoted last week as telling police forces in Tibet: "We must guardedly prevent and severely strike every separatist and harmful activity of the Dalai (Lama) clique.”.

The PRC’s Information Office of the State Council issued a new white paper on Tibet on July 11 (Xinhua, July, 11, 2011). Detailing the official state narrative regarding China’s relationship with Tibet, “Sixty Years Since Peaceful Liberation of Tibet” exalts the “peaceful liberation of Tibet” as a “milestone marking the commencement of Tibet’s progress from a dark and backward society to a bright and advanced future.” The white paper also seeks to further establish Tibetans as an “ethnicity”, continuing a trend to eschew previous usage of “nationality,” and hence the recognition of Tibetans as a political entity, in an attempt to characterize Tibetans as an ethnic group with cultural, as opposed to political, interests and rights.

*http://fr.wikipedia.org/wiki/Gedhun_Choekyi_Nyima

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16 juillet 2011 6 16 /07 /juillet /2011 21:05

 

 

Lire l'article sur  :

 

FRANCE TIBET

 

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15 juillet 2011 5 15 /07 /juillet /2011 21:50

vendredi 8 juillet 2011 par Monique Dorizon

Selon des témoignages en provenance du Tibet, Pema Rinchen, écrivain tibétain de 25 ans, a été sévèrement battu puis arrêté pour avoir lancé, dans son livre publié au début de cette année, une attaque cinglante contre les politiques erronées du gouvernement chinois au Tibet.
Le 5 juillet, Pema Rinchen, qui écrit sous le nom de plume de "Stinger", a été arrêté par le Bureau de la sécurité publique de Dragko à Kardzé [1], Tibet oriental. Il a été sévèrement battu puis admis le lendemain dans un hôpital local, selon ces mêmes témoignages.
Le quartier de l’hôpital était quadrillé de policiers armés, qui ont refusé à la mère de Rinchen et à des membres de la famille de le rencontrer. On ne sait pas où se trouve actuellement Rinchen.

Dans son livre "Look", Rinchen condamne fermement les politiques du Parti communiste chinois au Tibet, faisant une référence particulière à la répression brutale des manifestations pacifiques des Tibétains en 2008 et à la manipulation gouvernementale à la suite du tremblement de terre dévastateur à Jyekundo [2] en 2010.
Le livre contient des entretiens de l’auteur avec de nombreux Tibétains ayant participé aux manifestations pacifiques de 2008 au Tibet [3]. Mais le Bureau de la sécurité publique a arrêté Rinchen sous prétexte "d’incitation à la haine ethnique".

Dans un extrait de l’ouvrage publié sur un blog, Rinchen a exprimé en vers sa profonde angoisse durant "l’invasion des communistes chinois au Tibet, les lois imposant la cruauté de l’enfer aux Tibétains, le pillage des ressources naturelles du Tibet et une blessure profonde infligée aux terres vierges du Tibet".
Il déplore également "les souffrances insupportables des Tibétains vivant à l’intérieur du Tibet dues au passé qui transpire de sang, le présent déplorable et tragique et un avenir qui est terrifiant". "Si la puissance divine existe, il est temps de sauver les Tibétains de leurs souffrances, le destin du peuple tibétain peut s’améliorer s’il existe une force en l’espoir et en la vérité. Mais ces discours à propos de la liberté et de la démocratie ne transforment pas les mots en action, ils resteront vides de la moindre substance", déplore-t-il plus loin.
Environ 2 000 exemplaires de son livre sont en circulation au Tibet aujourd’hui.

Source : The Tibet Post international, 8 juillet 2011.

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[1] Kardzé (Ganzi ou 甘孜县 en chinois), parfois écrit Garzé, peut être localisé sur cette carte.

[2] Jyekundo ou Jyegu est le nom donné localement à la ville tibétaine de Kyegudo, ou Kyegu en tibétain de Lhassa. Sur les cartes, cette ville est généralement connue sous le nom chinois de son Comté (xian) : Yushu (结古镇). Yushu est visible sur cette carte
Voir l’article "Témoignage de Tashiling, après le tremblement de terre", du 17/06/2008 concernant le tremblement de terre au Sichuan en 2008

[3] Voir l’article "Escalade de la violence au Tibet - Historique", du 14/03/2008

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15 juillet 2011 5 15 /07 /juillet /2011 21:23

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FRANCE TIBET


Kardzé (Tibet) La police Chinoise arrête un homme et en recherche deux autres qui avaient placardé des affiches militantes pro Tibetaines
En Juin 2011, la police chinoise a arrêté Tsering Kyipo dans le Conté de Dégé, Préfecture de Kardze ( Sichuan Province). Tsering Kyipo, Tibétain, avait créé un dépiant et conduit une campagne d' affichage avec deux autres hommes Jampa Konchog et Lo Thubten qui sont toujours recherchés à Kardze (Tibet), selon les informations de Radio Free Asia online (RFA, Washington) du 13 juillet.

Le rapport cite une source du Conté de Dégé indiquant que Tsering Kyipo avait été vu sous escorte sur les lieux où les manifestants avaient placardé leurs affiches en mars 2011. Rien n'est connu au sujet des autres protestataires,Jampa Konchog and Lo Thubten

"Ils avaient distribué des centaines de documents appelant à l'indépendance du Tibet et au retour du Dalaï Lama, documents aussi affiché sur les fenêtres et les portes de plusieurs bâtiments officiels du gouvernement local chinois y compris les stations de police de la zone. Ils avaient distribué des centaines de tracts de protestation signés de leur nom selon les déclarations de cette source au Tibet ."


Plus loin cette source précise :" des centaines d'employés gouvernementaux et de personnel de sécurité se sont déployés à la poursuite des trois protestataires pendant environ un membre de chaque famille dix jours..Comme ils n'avaient pu les capturer, un membre de chaque famille a té détenu pendant environ trois mois ;"

Traduction, vendredi 15 juillet 2011.

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15 juillet 2011 5 15 /07 /juillet /2011 21:19
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Par Pierre Haski | Rue89 | 14/07/2011 | 00H23




L'un des auteurs chinois contemporains les plus audacieux s'est exilé cette semaine en Allemagne pour échapper à la censure, alors qu'il vient de recevoir une bourse d'un an par une institution universitaire allemande. « La chose la plus importante pour moi est la liberté de publier, la liberté d'écrire », souligne Liao Yiwu.


Photo : Liao Yiwu à Berlin le 15 septembre 2010. Photo : Gerhard Dierkes, via le New Yorker, qui ne nous en voudra pas de l'avoir « empruntée »…
(De nos archives) La dernière fois que le poète et écrivain chinois Liao Yiwu devait quitter la Chine, il se trouvait dans un avion pour l'Allemagne, avec tous ses papiers en règle, quand les policiers sont venus le faire descendre et lui interdire de partir. En septembre 2010, pour la première fois de sa vie, il a été autorisé à voyager à l'étranger, à la condition de « ne pas dire du mal de la République populaire de Chine », et de ne pas parler de politique.

Liao Yiwu participe cette semaine à un festival de littérature en Allemagne, son premier voyage à l'étranger à l'age de 52 ans, comme le raconte l'écrivain et journaliste américain Philip Gourevitch sur son blog du New Yorker.

Liao Yiwu, né poète dissident
Gourevitch, qui a défendu Liao Yiwu lors de ses périodes d'emprisonnement et de harcèlement policier, raconte l'émotion qui s'est emparée du poète dissident chinois lors de ses premiers pas d'homme libre, et cite ce récit fait par Peter Sillem, son éditeur allemand, sur une soirée qui lui était consacrée dans le cadre de ce festival berlinois :

« Il a chanté, joué de la flûte et raconté des histoires. Et il a développé toute une théorie sur les rapports entre la boisson, la liberté et les émotions. Et tandis qu'une magnifique actrice lisait l'histoire du croque-mort [un texte de Liao Yiwu, ndlr], Liao et son traducteur se saoulaient à l'alcool de riz, trinquant bruyamment à chaque gorgée. Au début, c'était assez drôle, mais au bout d'un moment, ça a fait ressurgir un torrent d'émotions à l'intérieur de Liao.

A la fin, il s'est mis à chanter une ultime chanson triste, et s'est assis en pleurant, alors que le public -quelque 250 personnes- applaudissait pendant dix bonnes minutes. C'était très émouvant. […]

Près de moi se tenait Wolf Biermann, un célèbre musicien et écrivain qui fut un dissident en Allemagne de l'Est. Après avoir été expulsé de RDA il y a une trentaine d'années, il joua un concert mémorable à Cologne. Lui aussi pleurait, il m'a dit que ça lui rappelait ce moment à Cologne. »

Liao Yiwu pourrait être décrit comme un poète dissident né : comme le racontent Anne-Marie Jeanjean et Sun Shansan, dans un recueil de ses poésies traduit en Français (« Poèmes de prison », éd. L'Harmattan, 2008) :

« Lorsque Liao Yiwu présente ses premiers textes en 1976 [année de la mort de Mao, ndlr], c'est d'emblée, alors qu'il n'a que 18 ans, qu'il prend le contre-pied de l'idéologie officielle en affichant un poème devenu célèbre : “SVP, ne les croyez pas.”

Effectivement, après avoir traversé la misère de la soi-disant “révolution culturelle”, se bercer d'illusions paraît difficile. Dénoncé par le comité de son école, le voilà condamné à payer une très forte amende pour ses poèmes “contre-révolutionnaires”. Etonnante entrée en poésie. »

Mais le vrai tournant pour Liao Yiwu, c'est Tiananmen, le printemps démocratique de Pékin en 1989, et la répression sanglante qui suivit. Il écrit « Le Grand massacre » et se retrouve en prison, condamné à quatre ans de prison, suivies de quatre années supplémentaires à la suite d'un jugement secret.

« Le grand massacre commence par le cœur de Pékin »
Dans la préface à son dernier livre traduit cette année en français, « Quand la terre s'est ouverte au Sichuan » (éd. Buchet Chastel), la sinologue Marie Holzman évoque ce passage en prison :

« De la prison, Liao Yiwu dit maintenant qu'elle a été son maître, qu'elle lui a appris à comprendre le véritable visage de la Chine, à côtoyer les victimes de la répression, à ressentir de l'empathie pour les marginaux, qu'ils soient victimes ou assassins, menteurs ou idéalistes, profiteurs ou exploités. C'est aussi en prison qu'il a appris à jouer de la flute xiao, auprès d'un vieux moine tibétain qui, comme lui, coulait des jours difficiles derrière les hauts murs du centre de détention de Chengdu. »

Ce dernier livre est caractéristique de la démarche de Liao Yiwu, qui se trouvait dans sa province natale du Sichuan lors du terrible séisme de 2008 qui a fait plus de 80 000 victimes. Il raconte les journées du drame, fait parler les survivants, les parents d'enfants dont les écoles mal construites se sont effondrées quand les bâtiments officiels résistaient à la secousse…

Liao Yiwu n'a rien perdu de sa verve, de son engagement, de ses colères.
Et même s'il ne peut pas le dire publiquement sans violer l'accord qui lui a permis de se retrouver à Berlin, il ne reniera jamais ce qu'il a écrit en 1989 dans « Le Grand massacre » :


« Le grand massacre commence par le cœur de Pékin

Quand le Premier ministre s'enrhume, le peuple tousse

La ville vient d'être fermée, puis bloquée, enfin assiégée

La machine d'Etat de ce vieux pays malade n'a plus de dents

Pour broyer le peuple qui résiste et voudrait lui échapper. »



Liao Yiwu est l'auteur de l'ouvrage traduit du chinois par Marie Holzman :


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15 juillet 2011 5 15 /07 /juillet /2011 11:25

THE TIBET POST

(Traduction Google)

Dharamshala: Le 12 Juillet, le Népal ont arrêté six hommes tibétains, âgés de 16 à 27, pour avoir franchi illégalement les frontières du Tibet. Selon l'AFP, la police locale leur arrestation avant l'aube dans un village de Lamabager, Dolakha district. Surintendant adjoint de l'espace Joshi Umesh Raj dit qu'ils seraient remis au ministère de l'Immigration à Katmandou peu.

Après avoir traversé la zone frontière himalayenne à pied, les évadés sont actuellement détenus en garde à vue au bureau de police du district de Charikot, avec leurs fichiers déjà transférés aux autorités d'immigration.

US câbles ambassade, exposée par Wikileaks année dernière, suggèrent que les autorités chinoises paient police népalaise pour détenir les Tibétains, mais la police refuse de révéler le nombre exact des Tibétains arrêtés au Népal.

Un environ 2500 Tibétains fuient la Chine au Népal chaque année si ce n'est le premier cas confirmé en un an. Accueil à près de 20.000 réfugiés tibétains, plus des milliers sont censés y vivre en tant que migrants en situation irrégulière.

En Mars de cette année, une délégation armée chinoise a promis 20 millions de dollars à l'appui du budget de la défense du Népal tandis réunion avec des fonctionnaires frontière népalaise. Récemment, le 10 Juillet, des réunions ont repris lorsque l'Intelligence Bureau de Pékin et Lhassa Bureau de la sécurité a eu des entretiens avec les autorités frontalières Népal.

Soulignant l'renforcée aux frontières de la sécurité, le journal local The Kantipur Daily a rapporté le 12 Juillet, que la Chine intentions d'interdire aux étrangers d'entrer par la frontière népalaise. Une interdiction d'un mois est fixé pour prendre effet à compter du 25 Juillet de la même semaine que la Chine est Vice-Président Xi Jingping est prévu de visiter le Tibet.

"La partie chinoise n'a jamais sonné comme la sécurité aux frontières sérieuses concernant", le quotidien Kantipur cité Bijay Poudel, le chef népalais de l'immigration à la frontière traversée Tatopani, comme disant. Le déménagement aura une incidence d'environ 400 touristes qui entrent au Tibet par le Népal chaque jour.

Le Népal a été continuellement intensifier la sécurité aux frontières depuis les émeutes de 2008 au Tibet et les restrictions face Tibétains au Népal sont en croissance. Le nouvel ambassadeur chinois au Népal, Yang Houlan, a récemment été en pourparlers avec des politiciens, leur demandant d'éviter toute activité anti-Chine au Népal.

Photographies de chefs religieux tibétains, l'hymne tibétain et le drapeau ainsi que des banderoles avec des slogans pro-Tibet ont tous été interdits, tandis que les célébrations bouddhistes tibétains de vacances, etc ont été maintenus sous contrôle strict.

Sur les anniversaires des dernières années, ce mois-ci, de Sa Sainteté le 14e Dalaï Lama et le 17ème Gyalwa Karmapa, activités festives ont été réprimé et dans le cadre des préparatifs, 39 Tibétains ont été arrêtés à Katmandou dans une stratégie visant à prévenir des célébrations publiques les dirigeants spirituel tibétain.

Le 10 Juillet, 12 de ces détenus ont été, cependant, a ordonné d'être libéré par la Cour suprême du Népal qui ont constaté que leurs 20 jours de détention était "sans explication raisonnable ... et que dire de détention est illégale", selon des documents judiciaires obtenus par l'International Campaign for Tibet.

Népal La Cour suprême châtié de la police locale, le Chef de district et le bureau du procureur impliqués dans la détention pour avoir omis de fournir une explication écrite à la cour pour les Tibétains "détention et pour avoir omis de délivrer des mandats d'arrêt pour les Tibétains, selon le tribunal les documents.

Nouvelles du site TibetCustom.com Mary Beth Markey rapporté, président de l'International Campaign for Tibet, disant que, «La décision de la Cour suprême du Népal indique clairement la nature politique de ces détentions, soulignant la situation précaire face à des Tibétains au Népal", ajoutant que «Ceci est un signe encourageant de l'indépendance du système judiciaire au Népal malgré la pression de Pékin sur le Népal à la répression sur les activités qu'il juge être« anti-Chine ».

Dernière mise à jour (Vendredi, 15 Juillet 2011 13:50)


 

Nepal Arrests 6 Tibetans as China Increases Pressure


Dharamshala: On July 12, Nepal arrested six Tibetan men, aged 16 to 27, for illegally crossing its borders from Tibet. According to AFP, local police apprehended them before dawn in a village in Lamabager, Dolakha district. Deputy Superintendent of the area Umesh Raj Joshi said that they would be handed over to the Immigration Department in Kathmandu shortly.

Having crossed the Himalayan border area on foot, the escapees are now held in custody at the District Police Office in Charikot, with their files already transferred to immigration authorities.

US embassy cables, exposed by WikiLeaks last year, suggest that Chinese authorities are paying Nepalese police to detain Tibetans, but the police declines to reveal exact numbers of Tibetans arrested in Nepal.

An estimated 2500 Tibetans flee from China into Nepal every year though this is the first confirmed case in a year. Home to around 20.000 Tibetan refugees, thousands more are believed to live there as undocumented migrants.

In March this year a Chinese army delegation pledged $20 million in support of Nepal's defence budget while meeting with Nepalese border officials. Recently, on July 10, meetings were resumed when the Beijing Intelligence Bureau and Lhasa Security Bureau held talks with Nepal border authorities.

Underlining the heightened border-security, local newspaper The Kantipur Daily reported on July 12, that China intents to ban foreigners from entering via the Nepalese border. A month-long prohibition is set to take effect from July 25, the same week that China's Vice President Xi Jingping is scheduled to visit Tibet.

"The Chinese side has never sounded as serious regarding border security", the Kantipur daily quoted Bijay Poudel, the Nepali head of immigration at the Tatopani border crossing, as saying. The move will affect about 400 tourists who enter Tibet via Nepal every day.

Nepal has continuously been stepping up border security since the 2008 riots in Tibet and the restrictions facing Tibetans in Nepal are growing. The newly appointed Chinese Ambassador to Nepal, Yang Houlan, has recently been holding talks with politicians, asking them to prevent any anti-China activity in Nepal.

Photographs of Tibetan religious leaders, the Tibetan anthem and flag as well as banners with pro-Tibet slogans have all been banned, while Tibetan celebrations of Buddhist holidays etc. have been kept under strict control.

On the recent birthdays, this month, of His Holiness the 14th Dalai Lama and the 17th Gyalwa Karmapa, festive activities were clamped down on and in the lead-up, 39 Tibetans have been arrested in Kathmandu in a strategy aimed to prevent public celebrations of the Tibetan spiritual leaders.

On July 10, 12 of these detainees were, however, ordered to be released by the Supreme Court of Nepal who found that their 20 days in detention was "without reasonable explanation... and that said detention is illegal," according to court documents obtained by the International Campaign for Tibet.

Nepal's Supreme Court chastised the local police, the Chief District Officer and the prosecutor's office involved in the detention for failing to provide a written explanation to the court for the Tibetans' detention and for failing to issue arrest warrants for the Tibetans, according to the court documents.

News site TibetCustom.com reported Mary Beth Markey, President of the International Campaign for Tibet, as saying that, "The Nepal Supreme Court's ruling clearly points to the political nature of these detentions, highlighting the precarious situation Tibetans face in Nepal", adding that, "This is an encouraging indication of the independence of the judicial system in Nepal despite Beijing's pressure on Nepal to crackdown on activities it deems to be 'anti-China'."

Last Updated ( Friday, 15 July 2011 13:50 )

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13 juillet 2011 3 13 /07 /juillet /2011 11:58

Les autorités népalaises ont interdit la célébration du 76e anniversaire du Dalaï Lama à des réfugiés tibétains à Katmandou, mercredi selon le Wall Street Journal.

Des centaines de policiers ont empêché, par la force, des Tibétains d'entrer dans une école où était organisé l'événement et ont arrêté trois d'entre eux. "Nous n'autorisons aucune activité contre notre voisin. Ils peuvent fêter l'anniversaire de leur leader dans la sphère privée mais une cérémonie publique est interdite", a affirmé le porte parole de la police de Katmandou Dhiraj Prap Singh.

Environ 20 000 Tibétains qui ont fui le Tibet, vivent au Népal. Ce pays frontalier avec la Chine a une attitude de plus en plus intransigeante vis-à-vis de la communauté tibétaine. Des associations de défense des droits de l’Homme critiquent régulièrement le traitement subis par les Tibétains du Népal. 22 d'entre eux avaient été arrêtés à la fin du mois de juin alors qu'ils s'étaient réunis dans un monastère de Katmandou pour une veillée en l’honneur de leur chef spirituel.

Le Dalaï Lama qui vit en exil à Dharamsala en Inde depuis 1959, est actuellement aux Etats-Unis, à Washington pour un rituel bouddhiste de 11 jours, connu sous le nom de kalachakra. Il a par ailleurs rencontré de hauts fonctionnaires de l'administration Obama. La Maison Blanche ne s'est cependant pas encore exprimée sur une éventuelle rencontre entre le Dalaï Lama et le président américain, qui pourrait irriter la Chine.

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Livres Editions GAT CONCEPT

 

NOUVEAUTÉ 

 

Les livres des Editions GAT CONCEPT sont en vente auprès de notre association.

Pour toute commande nous laisser un mail via le  formulaire contact  du blog.  

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Campagne de Parrainage de communes du Tibet

CAMPAGNE  PARRAINAGE DE COMMUNES DU TIBET :

  http://www.parrainages-villes-tibet.org/

 

Pour télécharger le dossier :

 

http://www.parrainages-villes-tibet.org/le-dossier-parrainages/

 

 

CAMPAGNE DE PARRAINAGE DE COMMUNES DU TIBET
PAR DES MUNICIPALITÉS EUROPEENNES

 

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ASSOCIATIONFRANCE-TIBET

Campagne« Parrainage de communes du Tibet »

13 le débucher 28260 ANET

Tél.06.75.66.24.51.

pascal.daut@live.fr

http://www.tibet.fr/pdf/Parrainage%20de%20communes%20du%20Tibet%20doc0.pdf

    

Liste des communes actualisée 

Campagne de “Parrainage de Communes du Tibet”
Objectif: Préserver le riche Héritage Culturel des Tibétains.

 

 

1-Salles Sur Garonne(31390) - Jean-Louis Halioua / Lhatse

2-Beckerich - Luxembourg- Camille Gira / Gyama 

3-Crest (26400)- Hervé Mariton / Lithang

4-Brouckerque(59630)- Jean-Pierre Decool / Siling

5-Bray-Dunes(59123)- Claude Marteel / Kardze 

6-Coudekerque-Branche(59210)- David Bailleul / Dhartsedo

7-Sisteron(04200) – Daniel Spagnou / Nyingtri 

8-Dieffenthal(67650) - Charles Andrea/ Jaqung

9-Pezens(11170)- Jean-Pierre Botsen / Dingri

10-Lugagnan(65100) - Jacques Garrot / Lhokha

11-Bourgtheroulde Infreville(27520) - Bruno Questel / Samye

12-Saint Laurent du Var(06700) - Henri Revel /Taktser

13-Divonne-Les-Bains(01220) - Etienne Blanc / Kyirong

14-L'Argentière-la-Bessée(05120) - JoëlGiraud/ Shethongmon

15-Lamothe-Goas(32500)- Alain Scudellaro / TsangLukner Shakar

16-St Genés Champanelle(63122) - Roger Gardes / Dromo

17-Festes et St André(11300) - Daniel Bord / Tadruk

18-Paris XI(75011) – Patrick Bloche / Lhassa

19–Manduel(30129) - Marie-Louise Sabatier/  Gyantse

20- Créon (33670) - Jean-Marie Darmian / Ruthok

21- Valouse (26110) - Patrick Liévaux / ShagRongpo

22- Plouray (56770) - Michel Morvant / Tsari 

23– Lans-en-Vercors (38250) - Jean-Paul Gouttenoire /Jomda

24– La Chapelle-Saint-Ursin (18570) - Yvon Beuchon/Sangchu-Labrang

25-Soulom(65260) - Xavier Macias / Chongye

26- Saint-Thomas-en-Royans (26190) – Christian Follut/ Jol

27-Merville(59660) - Jacques Parent /Dzogang

28- Mourenx (64150) - DavidHabib/ Tsona

29– Lavaur (81500) -BernardCarayon / Shigatse

30– Izeure (21110) -Catherine Lanterne /Yubeng

31-Artiguelouve(64230) -  Éline Gosset / Nyethang

32- Digne-Les-Bains(04000) - SergeGloaguen/Kumbum

33- Lavelanet-de-Comminges(31220) - Évelyne Delavergne / Narthang

34- Le Vigan (30120) - Eric Doulcier / Dergé

35– Bourbourg(59630)- FrancisBassemon / Shalu

36- Gensac-sur-Garonne(31310)- Henri Devic / Gadong

37- Bax(31310) - Philippe Bedel/ Rong

38- Carbonne(31390) - Guy Hellé/ Nagartse

39–Epinac(71360)- Jean-François Nicolas / Sakya

40– Amfreville-La-Mi-Voie(76920) – Luc Von Lennep / Phari

41- Le Cannet-des-Maures(83340) - Jean-Luc Longour / Gyatsa

42– Latrape(31310) - Jean-Louis Séguela / Riwoche

43– Sciez (74140) -Jean-LucBidal / Gyalthang

44– Widehem(62630) - Pierre Lequien / Taklung

45– Nieppe(59850) -MichelVandevoorde / Tsongdu(Nyalam)

46– Montbéliard(25200) - JacquesHélias / Kharta

47– Marzens(81500) -DidierJeanjean / Nagchu

48– Vitrolles(13127) - LoïcGachon / Tsethang-YumbuLakhang

49- Labastide-Saint-Georges(81500) - Jacques Juan / KhymZhi Shang

50– Bouchemaine(49080) - Anne-Sophie Hocquet de Lajartre / TashiDorje – Jhado/ Lac Namso

51–Ussel (46240)-Jean-Paul David / Rumbu

52-Sembrancher(1933) – Suisse- Bernard Giovanola / Rongbuk

53– Beurizot(21350) - Hugues Baudvin /Yerpa

54–Mailholas(31310)- Gérard Carrère / Dorjeling

55– Briançon(05100)- GérardFromm /Pelyul

56– Hondschoote(59122) - Hervé Saison / Markham

57– Aiguefonde(81200) – Vincent Garel / Nyemo

58– Vers sur Selle (80480)- Thierry Demoury / Dechen

59-Bennwihr (68690) – Richard Fuchs /Chamdo

60-– St Valéry sur Somme(80230)- Stéphane Haussoulier / Sera

61-Corby- Angleterre-JeanAddison / Rigul

62– Billere (64140)- Jean-Yves lalanne / Surmang

63-Marcq en Yvelines (78770)- Pierre Souin/ Drigung

 
De nombreuses autres Municipalités ont aussi été contactées par les Membres des Groupes Tibet du Parlement(189 députés) et du Sénat(67 sénateurs) et par la plupart des Membres des Groupes de Soutien au Tibet… Suite à cette mobilisation, nous espérons de nombreuses autres Municipalités !

 58 Associations Internationales de Soutien auTibet ont déjà adhéré à cette campagne;
Passeport Tibétain(Essert-90), Montagne du Bonheur(Paris-75), Briançon-05 Urgence-Tibet, France-Tibet
National, Collectif Tibet-Dunkerque(59), Maison des Himalayas(Gonnehem-62), France-Tibet-Île de la
réunion(974), Association Provence-Himalaya(Vitrolles-13), Nos Amis de l’Himalaya(Bordeaux-33), France-
Tibet / Nord-Pas de Calais(Lille-59), Aide et Espoir pour le Monde Tibétain(Amiens-80), SOS Tibet(Lyon-69),
Culture en Exil(Nantes-44), Lotus Himalaya(Maubeuge-59), Corse-Tibet(Porto Vecchio-20), Liberté au
Tibet(Sélestat-67), Objectif Tibet(Sciez-74), France-Tibet Maine/Anjou(Angers-49), Alliance Tibet-
Chine(Paris-75), Lions des Neiges(Lyon-69), Tibet-Languedoc(Nîmes-30), Drôme Ardèche – Tibet(Valence-
26), Jamtse Thundel(Gras-07), Tibet, Vallée de La dröme(Crest-07), ART (Aide aux Réfugiés
Tibétains)(Grenoble-38), Association des Elus Verts Pour le Tibet(Paris-75), Espoir pour le Tibet(Vannes-56),
Don et Action pour le Tibet(Yvry Sur Seine-94), Collectif Action-Tibet-vérité(Marzens-81), Institut Vajra
Yogini(Marzens-81)- Autodétermination Tibet(Rabat les Trois Seigneurs-09), Association Falun
Gong(Bordeaux-33), Rencontres Tibétaines(Toulouse-31), Matchik Labdreun(Marseille-13), Tibet-
Normandie(Rouen-76), APACT(Pau-64), Tutti Frutti International(Villeneuve d’Ascq-59), France-Tibet-Isère,
Association Amitié Suisse-Tibet(AAST), Gesellschaft Schweizerisch-Tibetische- (Suisse), Tibetet Support
Association - (Hongrie), Tibetan Programme of the Other Space Foundation - (Pologne), Casa del Tibet -
(Espagne), Svensk Tibet Komitten - (Suède), Tibet Support Group-Ireland., Les Amis du Tibet – Luxembourg,
Friends of Tibet India(Delhi), La Casa Del Tibet di Votigno di Canossa(Italy), Tibet Initiative Deutschland
e.v.(Germany), PTC – Pro Tibet Culture(Chili), Tibet Patria Libre(Uruguay), Casa Tibet Mexico(Mexico),
Ganasamannay, Kolkata(India), Costa Rica-Tibet(Costa-Rica), fundacion Tashi delek(spain), Kasakhstan-
Tibet(Kasakhstan), Panama-Tibet(Panama), Tibet-Thaïland(Thailand)


NB :Le travail engagé par notre ami Francis se poursuit : c'est Pascal Dautancourt qui se chargera désormais du suivi des demandes et propositions des communes.
N' hésitez pas à solliciter vos élus en ce sens... et à entrer en contact avec Pascal:

ASSOCIATION FRANCE-TIBET 
Campagne « Parrainage de communes du Tibet » 
13 le débucher 28260 ANET
Tél.             06.75.66.24.51      .
Pascal.dautancourt@gmail.com

 

 

La campagne de parrainage continue. N'hésitez pas à solliciter votre Maire et à nous contacter si besoin. 

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